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| > De l'eau potable (gratos aux fontaines si on est en ville) | | > De l'eau potable (gratos aux fontaines si on est en ville) |
| > Un megot coupé en deux | | > Un megot coupé en deux |
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− | '''EDIT d'encore un autre tiers:'''
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− | Contrairement à ce que suggère cette page, se faire prescrire du Skénan en France n'est pas une mince affaire.
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− | De base, il ne s'agit pas d'un traitement de substitution aux opiacés. Toutefois, depuis la Circulaire Girard (1996); au cas où le patient dépendant ne supporterait ni la Buprénorphine (Subutex), ni la Méthadone (et qu'il dispose de preuves à l'appuie attestant de cela), la prescription de Skénan devient alors éventuellement envisageable. Cela implique d'avoir été suivi un certain temps, d'avoir en sa possession un bon nombre de document et d'avoir établit un rapport de confiance avec un médecin. Il existe certains médecins verreux, qui pour une cinquantaine d'euros vous feront votre ordonnance. Ils se font de plus en plus rare, car il est de plus en plus facile pour l'ordre de les repérer puis de les radier.
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− | Inutile de dire que ça n'est pas en allant consulter des médecins au pif pour leur taper sur le bureau que vous aurez du Skén'.
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− | En revanche, pour ce qui est du Subutex, c'est effectivement assez facile de s'en faire prescrire, puisque c'est "légitime" pour quelqu'un de dépendant aux opiacés de pouvoir disposer d'un traitement de substitution.
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